
Grand Pavois de la Rochelle : du 23 au 28 septembre 2025, de quoi mettre les voiles
Le salon nautique du Grand Pavois La Rochelle 2025 est l’événement de l’année pour les amateurs de bateaux.
Les Français regardent 32 heures en moyenne leur smartphone par semaine... Ce qui émet près de 6 % de CO2 du numérique. Quelles sont les applis les plus énergivores ?
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Helios, le compte bancaire de ceux qui s’engagent pour la planète, dresse la liste des applications mobiles les plus consommatrices en énergie. Sans surprise, les Français sont des gros accrocs à leur smartphone. En moyenne, un français regarde 32 heures par semaine son smartphone. C’est énorme ! Au global, l’usage de l’ensemble de ces applications par toutes les personnes ayant un smartphone serait responsable d’environ 6 % des émissions totales de CO2 du numérique. C’est 4 à 5 % des émissions mondiales des gaz à effet de serre.
|TOP|Applications mobiles|
| 1|Les réseaux sociaux (avec Tiktok en tête) : Ces applications reposent pour la plupart sur des médias qui nécessitent un chargement important de données (photos, vidéos, etc…) et sont utilisées très fréquemment.|
| 2|Les navigateurs de recherche (avec Chrome en haut du panier) : Un grand nombre d’utilisateurs gardent des dizaines et des dizaines d’onglets ouverts, ce qui implique un chargement en arrière-plan et consomme de la donnée (pas toujours utilement)|
| 3|Les jeux mobiles (avec Clash of Clans dans le top) : Un jeu mobile nécessite un volume très important de données (graphismes, etc…) et donc implique une consommation électrique conséquente.|
|4| Les messageries (avec Hotmail en haut du classement) : Sa consommation d’énergie vient principalement de deux éléments : le stockage des mails en général, les pièces jointes volumineuses|
|5|Netflix et les applications de streaming : La vidéo est sans conteste le format qui nécessite le plus d’énergie. Par conséquent, l’impact CO2 est colossal, d’autant plus que l’usage de ce type de format prend de plus en plus d’ampleur.|
Pour rappel, l’usage d’une application mobile génère en moyenne 0,75 g CO2eq par jour. En faisant le calcul sur l’année, et en multipliant par le nombre d’applications, on reste bien au-dessous de l’impact de la fabrication du téléphone. Si l’on regarde l’impact à l’échelle mondiale, cela reste cependant colossal et donc un levier intéressant sur lequel agir. D’autant plus qu’il est facile d’ajuster certains usages que l’on a avec nos téléphones.
Le salon nautique du Grand Pavois La Rochelle 2025 est l’événement de l’année pour les amateurs de bateaux.
Ce point de bascule symbolique indique le moment où l’humanité a épuisé toutes les ressources que la planète peut générer durablement en un an.
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