
Black Friday : pour faire de réelles économies, le mieux reste encore de ne rien acheter !
Plus de 30% des achats effectués durant le Black Friday et le Cyber Monday seront au final revendus. Ce taux grimpe à 50% juste parès Noël, une (...)
Une étude inédite sur la pollution aux microparticules confirme que les métros et RER parisiens sont largment plus pollués que l’extérieur, chiffres à l’appui.
Publié le par
Des mesures, effectuées dans le cadre d’un documentaire de la série "Vert de rage" diffusée sur France 5, révèlent l’étendue de la présence des particules fines dans l’air du métro de la capitale. Les médias, dont France Info, propose une carte et un moteur de recherche afin de découvrir le niveau de pollution de votre ligne.
Dans le cadre d’un documentaire de la série "Vert de rage" diffusée sur France 5, une série de mesures inédites vient apporter de nouveaux éléments au dossier très sensible de la qualité de l’air dans les transports en commun. Des particules fines ont été mesurées à des niveaux jusqu’à 19 fois plus élevés que le seuil recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Un écart de 1 à 100 a également été constaté d’une station ou d’une ligne à l’autre. Les résultats de cette étude, révélés par [a[franceinfo]a], dessinent une cartographie inédite de la pollution de l’air dans le métro de la capitale.
Ces mesures ont été réalisées en collaboration avec Jean-Baptiste Renard, directeur de recherches au CNRS et patron du comité scientifique de l’association Respire, qui lutte depuis des années pour une meilleure qualité de l’air dans le métro. Pour la première fois, ces travaux documentent la pollution de l’air dans la totalité des stations du métro parisien, et sur les quais du RER de la petite couronne. Ils s’intéressent aux particules PM2.5, dont le diamètre est inférieur ou égal à 2,5 microns. Ces particules les plus fines sont celles qui présentent le plus de risque de s’infiltrer dans nos poumons, notre sang et nos organes.
Pas moins de 40 000 décès par an "peuvent être attribués à cette exposition en France", d’après Santé publique France. En moyenne, la présence de ces particules fines a été mesurée à 24 microgrammes par mètre cube ( μg/m3), soit près de cinq fois le seuil de 5 μg/m3 recommandé par l’OMS depuis 2021.
Cette pollution aux particules fines à l’intérieur du métro est d’abord la conséquence de la pollution extérieure. La ventilation passive dans certaines stations diffuse l’air de la rue sur les quais. Par conséquent, plus l’air de la ville est pollué, plus celui du métro le sera. Mais une grande partie des particules fines vient aussi du fonctionnement même du métro. Aux particules de carbone provenant des pots d’échappement des véhicules à moteur, s’ajoutent ces poussières, notamment métalliques, issues de l’usure des rames, de leurs pneus et de leurs freins. "Cette pollution est causée par l’usure des matériaux due au freinage des rames, par les contacts entre le matériel roulant et la voie ferrée ou encore par la remise en suspension des poussières du fait de la circulation des rames", notait l’Anses en juin 2022.
La station de la Défense récolte la palme de la station du RER A la plus polluée.
Pendant huit mois, une douzaine de journalistes, qui travaillent pour la collection de documentaires de France 5 Vert de rage, ont mesuré la présence de particules fines PM2.5 sur les 435 quais des 332 stations du métro et du RER de Paris et de la petite couronne (hors zones 3, 4, 5 pour le RER). La pollution a été mesurée en bout de quai, et non dans les rames. Pour calculer la surpollution à laquelle sont exposés les usagers, une mesure de la pollution de l’air aux particules fines a également été réalisée le même jour à l’extérieur de la station. Les mesures ont été réalisées du lundi au vendredi, entre 18 heures et 20 heures, hors journées de grève, à l’aide de capteurs d’air mobiles Pollutrack, déjà utilisés dans la mesure de la qualité de l’air par la Ville de Paris. Dans la carte et le module de recherche par ligne, les valeurs sont arrondies.
Plus de 30% des achats effectués durant le Black Friday et le Cyber Monday seront au final revendus. Ce taux grimpe à 50% juste parès Noël, une (...)
20% de la population française souffre de la précarité énergétique.
Les personnes qui socialisent régulièrement avec des amis ou des membres de leur famille en dehors de leur foyer vivent plus longtemps que (...)
Que faire de vos déchets ? Comment les réduire ? Une semaine de sensibilisation jusqu’au 26 novembre.
Du 13 novembre au 09 décembre 2023, une grande collecte solidaire de jouets inutilisés aura lieu dans près de 660 points de collecte répartis (...)
Lhyfe alimentera plusieurs stations hydrogène de la société HYmpulsion pour une durée de 10 ans, à partir d’un nouveau site de production (...)
Pesticides : des indicateurs européens biaisés Générations futures alerte sur l’utilisation d’indicateurs erronés par l’Europe. Ces indicateurs (...)
L’effondrement d’un glacier du parc national du Queulat au Chili fait sensation sur le réseau X, une vidéo à découvrir.
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez les femmes en France et constitue chez elles la principale cause de mortalité.