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Le gouvernement a déclenché l’état de calamité agricole, mi-avril, suite à la période de gel d’avril. Toutefois, pour la majorité des producteurs, compte-tenu de leur production, ils ne percevront aucune indemnité, n’étant pas assurés contre les risques climatiques.
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Chez le seul assureur Groupama, le coût estimé des indemnisations pour les vignobles assurés s’élèverait à près des 100 millions d’euros. Or moins du tiers (32% selon la FFA) des domaines viticoles sont assurés contre le gel. Du côté de l’arboriculture, c’est pire, seulement 3% des surfaces cultivées en arboriculture sont assurées contre le gel ! C’est dire la perte abyssale à laquelle les producteurs devront faire face.
La grande majorité de producteurs, quel que soit le fruit cultivé, vigne, pommier, pêcher, abricotier, poirier, etc. ne seront pas indemnisés par l’Etat. Leurs cultures étant assurables. Évidemment, peu de producteurs s’assurent, compte-tenu dues primes d’assurances demandées. Julien Denormandie a annoncé jeudi 8 avril que serait mis en œuvre le régime des calamités agricoles. Le Fonds national de gestion des risques en agriculture (FNGRA), financé par une contribution additionnelle de 5,5% sur les assurances obligatoires, sera déplafonné. Son plafond actuel de 60 millions d’euros par an étant ridiculement faible vis à vis des dégâts constatés.
Les viticulteurs assurés ne seront pas indemnisés avant 2022. En effet, ces assurances multirisques climatiques sont basées sur la perte de rendement constatée par rapport à la moyenne sur les 5 dernières années. « Pour les viticulteurs, ces pertes de rendement sont calculées par rapport à la déclaration officielle de récolte. L’indemnisation tiendra compte des seuils de déclenchement et des franchises, généralement autour de 25%. Les viticulteurs ne devraient connaître de pertes potentielles de revenus en lien avec cet épisode de gel que l’année prochaine au moment de la commercialisation de leur production, pas avant », précise la FFA. De plus, les dommages sur la vigne peuvent encore évoluer à la faveur des conditions climatiques. « Il faut laisser à la nature le temps d’une éventuelle régénération (par exemple deuxième feuille sur les vignes) et nous ne sommes pas à l’abri d’un ou de plusieurs nouveaux épisodes de gel ou d’un autre aléa climatique dans les prochaines semaines », avertit L’Etoile assurance, deuxième assureur agricole de France.
Les consommateurs ne seront pas à la fête non plus. Avec une production revue fortement à la baisse en France, les importations de fruits des pays du Sud de l’Europe seront encore plus élevées et les prix vont alors fortement grimper pour ne pas à avoir à consommer des fruits muris dans les camions lors de leur transport.
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